Jean-Marc Rouzet
Secretaire de l'AARS

Jean-Marc Rouzet
Secretaire de l'AARS

Jean-Marc Rouzet
Secretaire de l'AARS

Dès mon adolescence, sous l’influence des auteurs tels que Pierre Benoit, Roger Frison-Roche, Théodore Monod et d’autres, j’ai été fasciné par le Sahara.

Paysage du piémont sud de la Tasili-n-Ajjer

Dès mon adolescence, sous l’influence des auteurs tels que Pierre Benoit, Roger Frison-Roche, Théodore Monod et d’autres, j’ai été fasciné par le Sahara. Cependant, l’ayant pourtant survolé de nombreuses fois pour me rendre dans des villes de l’Afrique de l’ouest, mon premier vrai séjour au Sahara est intervenu assez tard, en 1997 en Libye, alors que ce pays était sous embargo. 

Ce voyage, en partie à pied, m’a emmené dans l’Akukas et à l’ouest du Mesāk, et là, pour la première fois j’ai pu voir des gravures et peintures rupestres autrement que dans des livres. 

Ultérieurement, j’ai cherché à mieux connaître et comprendre ces représentations et, pour ce faire, j’ai cherché des publications dans les bibliothèques que je fréquentais.

J’ai facilement trouvé de très beaux livres avec de belles photos, mais souvent avec des textes que je trouvais superficiels, voire indigents. 

Puis un jour j’ai déniché le livre de Jean-Loïc Le Quellec,  Art rupestre et préhistoire du Sahara, dont les illustrations étaient certes moins rutilantes mais dont les propos étaient bien plus explicatifs et pertinents.

Plusieurs années après, j’ai découvert l’AARS, présidée par Jean-Loïc Le Quellec, auteur de cet ouvrage qui m’avait tant intéressé et j’ai décidé alors d’y adhérer en 2009.

Paysage du piémont sud de la Tasili-n-Ajjer

Dès mon adolescence, sous l’influence des auteurs tels que Pierre Benoit, Roger Frison-Roche, Théodore Monod et d’autres, j’ai été fasciné par le Sahara. Cependant, l’ayant pourtant survolé de nombreuses fois pour me rendre dans des villes de l’Afrique de l’ouest, mon premier vrai séjour au Sahara est intervenu assez tard, en 1997 en Libye, alors que ce pays était sous embargo. 

Ce voyage, en partie à pied, m’a emmené dans l’Akukas et à l’ouest du Mesāk, et là, pour la première fois j’ai pu voir des gravures et peintures rupestres autrement que dans des livres. 

Ultérieurement, j’ai cherché à mieux connaître et comprendre ces représentations et, pour ce faire, j’ai cherché des publications dans les bibliothèques que je fréquentais.

J’ai facilement trouvé de très beaux livres avec de belles photos, mais souvent avec des textes que je trouvais superficiels, voire indigents. 

Puis un jour j’ai déniché le livre de Jean-Loïc Le Quellec,  Art rupestre et préhistoire du Sahara, dont les illustrations étaient certes moins rutilantes mais dont les propos étaient bien plus explicatifs et pertinents.

Plusieurs années après, j’ai découvert l’AARS, présidée par Jean-Loïc Le Quellec, auteur de cet ouvrage qui m’avait tant intéressé et j’ai décidé alors d’y adhérer en 2009.

Dès mon adolescence, sous l’influence des auteurs tels que Pierre Benoit, Roger Frison-Roche, Théodore Monod et d’autres, j’ai été fasciné par le Sahara. Cependant, l’ayant pourtant survolé de nombreuses fois pour me rendre dans des villes de l’Afrique de l’ouest, mon premier vrai séjour au Sahara est intervenu assez tard, en 1997 en Libye, alors que ce pays était sous embargo. 

Ce voyage, en partie à pied, m’a emmené dans l’Akukas et à l’ouest du Mesāk, et là, pour la première fois j’ai pu voir des gravures et peintures rupestres autrement que dans des livres. 

Ultérieurement, j’ai cherché à mieux connaître et comprendre ces représentations et, pour ce faire, j’ai cherché des publications dans les bibliothèques que je fréquentais.

J’ai facilement trouvé de très beaux livres avec de belles photos, mais souvent avec des textes que je trouvais superficiels, voire indigents. 

Puis un jour j’ai déniché le livre de Jean-Loïc Le Quellec,  Art rupestre et préhistoire du Sahara, dont les illustrations étaient certes moins rutilantes mais dont les propos étaient bien plus explicatifs et pertinents.

Plusieurs années après, j’ai découvert l’AARS, présidée par Jean-Loïc Le Quellec, auteur de cet ouvrage qui m’avait tant intéressé et j’ai décidé alors d’y adhérer en 2009.

Paysage du piémont sud de la Tasili-n-Ajjer