Anne-catherine Benchelah
Trésorière

Anne-catherine Benchelah
Trésorière

Anne-Catherine Benchelah
Trésorière

Des lectures, des documentaires, des rencontres ont attisé mon désir de fouler le sol du désert, le plus vaste du monde, le Sahara.

Des lectures, des documentaires, des rencontres ont attisé mon désir de fouler le sol du désert le plus vaste du monde, le Sahara. Je n’en connais qu’une petite partie, la Tasīli-n-Ăjjer, dont j’ai pu percevoir la richesse et la diversité des écosystèmes : oueds, montagnes, vallées.
L’admiration portée aux gravures et peintures rupestres m’a conduite à observer leur environnement. Aux pieds des masses rocheuses, une végétation dort et se réveille par moments.
Quand il a plu, c’est un enchantement. Arbres et arbustes, plantes, animaux habitent ces lieux, où des hommes ont vécu de longue date.
Théodore Monod, qui a été qualifié de « dernier des naturalistes », souhaitait retrouver un exemplaire de Monodiella flexuosa. Invité par le Parc national du Tassili, il est venu à Djanet pour un voyage d’étude, visiter les lieux humides autour des gueltas d’Iherir. J’ai eu le bonheur de l’accompagner dans ce voyage.
Les photos montrent un paysage caractéristique de la région, une petite liliacée et Blackstonia grandiflora, une gentianacée cousine de Monodiella flexuosa